De plus en plus, les outils numériques agrémentent le fait touristique. Plus que jamais, le touriste s’informe au préalable via Internet, recourt à des solutions IT pour faire ses réservations, obtenir des informations lors de son séjour… Applis mobiles, réalité augmentée, géolocalisation, interaction avec les réseaux sociaux, les besoins progressent au gré des nouvelles technologies. Le secteur se plie au phénomène voire, pour certains de ses acteurs, anticipe ces besoins – perçus ou créés.
Mais cela, c’est un peu l’image d’Epinal d’un tourisme et d’opérateurs/acteurs qui ont les moyens de suivre et d’adopter le dernier cri de la technologie. Sur le terrain, parmi les acteurs locaux, souvent modestes et techno-inexpérimentés, la réalité est plutôt différente.
Ce dossier fait une incursion du côté de la situation locale des exploitants qui hésitent encore ou n’ont pas les moyens de prendre le train du numérique en marche. Se dirige-t-on chez nous vers un tourisme à deux vitesses? Comment expliquer certaines carences? Question de compétences, de moyens, de volontarisme?
Les solutions e-tourisme doivent-elles nécessairement être un attirait cher, complexe, “hype”? Un petit tour d’horizon de solutions imaginées par des développeurs et sociétés et développeurs locaux indique le contraire. A découvrir, par exemple, des solutions de jeux de piste géolocalisés, de transposition interactive de cartes classiques, de catalogue de fonctions et jeux interactifs mutualisables…
Le dossier fait également un arrêt à Bruxelles et à Mons où deux projets d’analyse des “traces numériques” (utilisation de smartphones, en l’occurrence) laissées par les touristes, visiteurs ou simples personnes de passage devraient permettre aux responsables locaux de tirer de précieux enseignements pour adapter leur carte de services et d’attractions touristiques.
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