Digital learning: question de dosage et d’objectifs

Dossier
Par · 02/07/2015

Sommaire

  1. David Boulanger (Now.be): ne pas choisir de solution avant d’avoir cerné le besoin David Boulanger (Now.be): ne pas choisir de solution avant d’avoir cerné le besoin Publié par Brigitte Doucet, 02/07/1515 En matière d’e-learning, quelles sont les erreurs les plus communément commises lors du processus d’évaluation du projet et de de son déploiement? Quels critères ou paramètres devraient idéalement être retenus pour opérer un choix (outil, méthode, fournisseur, voire prestataire)?
  2. Pascal Balancier (AdN): Ne pas espérer le mouton à 5 pattes Pascal Balancier (AdN): Ne pas espérer le mouton à 5 pattes Publié par Brigitte Doucet, 02/07/1515 Pascal Balancier, expert en formation et e-learning à l'AdN, met le doigt sur quelques erreurs typiques faites lors du démarrage d'un projet d'e-learning. Son conseil de base: ne pas vouloir brûler les étapes et choisir, autant que faire se peut, des outils déjà bien maîtrisés par les apprenants. Avant de pousser l'expérience plus loin.
  3. WAN: transition de l’aéronautique vers du “blended learning” WAN: transition de l’aéronautique vers du “blended learning” Publié par Brigitte Doucet, 02/07/1515 Le centre de compétence WAN (Wallonie Aerotraining Network) a commencé à déployer une solution d’e-elearning afin de renforcer et de moderniser ses prestations de formation. Les contraintes réglementaires empêchent toutefois un basculement complet en e-learning. A cet égard, tous les profils d’apprenants et tous les stades de la formation ne sont par ailleurs pas logés à la même enseigne.
  1. KeyProcess: le virtuel pour tester les compétences KeyProcess: le virtuel pour tester les compétences Publié par Brigitte Doucet, 02/07/1515 KeyProcess est un projet de formation via e-learning destiné à l’industrie alimentaire. Objectif: inculquer et valider les compétences-clé des opérateurs et techniciens dans des environnements de plus en plus automatisés, voire pilotés à distance. Parmi les outils mis en oeuvre: une usine virtuelle.
  2. Spadel: l’e-learning pour renforcer la sécurité Spadel: l’e-learning pour renforcer la sécurité Publié par Brigitte Doucet, 02/07/1515 L’e-learning est entré chez Spadel via le département chargé de la sécurité. Objectif: former à ses règles générales de sécurité les collaborateurs de prestataires extérieurs qui sont amenés à opérer sur ses sites de production. Son propre personnel, bien entendu, en profite aussi et pour d’autres domaines (hygiène, politique environnementale…)
  3. e-learning: quelques erreurs à éviter e-learning: quelques erreurs à éviter Publié par Brigitte Doucet, 02/07/1515 Spadel, le centre de formation WAN (aéronautique), l’IFP (centre de formation de l’industrie alimentaire). Comment les trois organismes qui se sont engagés dans la voie de l’e-learning et dont nous vous parlons dans ce dossier ont-ils vécu l’expérience? Quelles erreurs ont éventuellement été commises dans les choix initiaux, la méthode ou les objectifs? Nous avons posé la question à ces trois témoins.
  4. L’e-learning, un terrain mouvant L’e-learning, un terrain mouvant Publié par Brigitte Doucet, 02/07/1515 La panoplie d’outils et de méthodes de digital learning s’est sensiblement enrichie ces dernières années. Quid de leur efficacité? Comment déterminer quel outil, quelle approche convient le mieux en fonction du contexte?

DOSSIER — Les solutions numériques (cours dématérialisés, simulations, immersion dans des scénarios, jeux sérieux, processus collaboratifs à distance…) mises au service de la formation et de l’apprentissage. Les promesses et espérances de l’e-learning ou “digital learning” sont souvent surdimensionnées tandis que les mesures prises et solutions choisies pèchent par une réflexion insuffisante en amont.

Ce dossier vous présente trois témoignages de sociétés ou organisations qui, pour des raisons diverses, se sont tournées vers l’e-learning, en complément de leurs formations traditionnelles.

Chez Spadel – les eaux minérales -, l’e-learning a fait son apparition en priorité à des fins de sécurité, pour former et informer les collaborateurs de sous-traitants et sociétés amenées à pénétrer sur les sites de production.

Le WAN (Wallonie Aerotraining Network), centre de compétence spécialisé dans les formations destinées au secteur de la construction et maintenance aéronautique et de l’exploitation aérienne, s’est mis au blended learning (formations à distance mêlé de présentiel) pour les préparations aux cours et l’acquisition de compétences (aérodynamique, facteurs humains…).

Dans le secteur de l’industrie alimentaire, le blended learning vient d’être choisi comme élément de modernisation des processus et activités par les Centres de Compétences FormAlim et Technifutur et par Forem Formation.

Découvrez ce que chacun en attend – et en retire. Ces trois utilisateurs témoignent aussi de quelques erreurs commises au départ ou d’embûches qu’ils préconisent d’éviter.

Quelles sont d’ailleurs les erreurs les plus communément commises lors du processus de lancement et de déploiement d’un projet d’e-learning? Quels critères ou paramètres devraient idéalement être retenus pour opérer un choix – qu’il s’agisse de l’outil ou de la méthode? Nous avons posé ces quelques questions à deux observateurs du monde de l’“apprentissage par le numérique” (digital learning). En l’occurrence, Pascal Balancier, spécialisé en formation et ICT dans l’enseignement auprès de l’AdN (ex-AWT) et David Boulanger, directeur de Now.be, société de Mont-Saint-Guibert adepte des solutions de blended learning, mêlant e-learning, présentiel, coaching, jeux sérieux…

Quelques-uns de leurs constats? Manque de réflexion en termes d’adéquation pédagogique; choix d’un outil avant d’avoir déterminé quoi en faire; manque de maîtrise interne qui impose une coûteuse externalisation pour la production du contenu ou des scénarios pédagogiques; difficulté à sérier et opérer un choix parmi les objectifs…

A découvrir en détails dans ce dossier, de même que leurs conseils pour mieux réussir un projet d’e-learning.

Bonne lecture.