Fishing Cactus, CareSquare, OpenERP, Abrakam, Belle Productions… Ce ne sont là que quelques noms de sociétés qui ont fait appel à du crowdfunding ces derniers mois. Avec des bonheurs divers.
Le phénomène est encore assez neuf et méconnu chez nous mais on constate, ces derniers temps, un regain d’intérêt de la part des sociétés et pas uniquement des start-ups pour ce mode de financement participatif.
Preuve que le concept séduit: de nouvelles plates-formes font leur apparition, en ce compris chez nous. Dont deux en région francophone: IDentity à Namur, Crowd’In à Liège. Et le marché belge, considéré comme porteur en dépit de son exiguïté géographique, attire les convoitises de plates-formes étrangères. La française KissKissBankBank, par exemple, a choisi Bruxelles comme première implantation à l’étranger.
Vers une réglementation adaptée
Le crowdfunding se cherche certes encore une légitimité et un cadre légal mais les choses commencent à évoluer. Une réflexion est en cours chez nous, au niveau ministériel, pour baliser – légalement – ce mode de financement, que ce soit en mode “reward” – don financier contre don en nature – ou pour les formes plus évoluées et professionnelles que sont le prêt ou l’entrée au capital des projets financés.
Pour parler de ces différentes facettes du crowdfunding, nous avons notamment rencontré les responsables de plusieurs plates-formes belges mais aussi et surtout, nous avons recueilli les témoignages d’entrepreneurs qui ont tenté de récolter des fonds pour financer leurs projets. Il en résulte un petit florilège de conseils et d’enseignements qui peuvent éviter certaines désillusions ou erreurs à ceux qui les imiteraient.
A lire également, le portrait de quatre plates-formes locales et quelques textes illustrant les évolutions à l’oeuvre au niveau international (France, Europe, Etats-Unis).
Bonne lecture
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