Actualités
Big data: appel aux acteurs wallons à profiter de la manne européenne de 2,5 milliards d’euros
En janvier, un partenariat public-privé européen, généreusement financé par l’Europe, fera ses débuts. Son thème: le big data (mégadonnées). Appel est lancé aux sociétés, organisations et centres de recherche wallons de s’en faire membres pour acquérir des compétences en matière de big data et profiter des programmes de recherche européens.
Teasio: l’e-commerce en dialogue visuel
Après avoir lancé le projet TuzzIT, Christophe Fruytier dévoile une nouvelle solution d’e-commerce pour (petits) commerçants et artisans. Objectif: recréer confiance et relations directes dans un créneau par définition dématérialisé. Et, pour ce faire, quoi de mieux qu’un dialogue visuel entre vendeur et acheteur potentiel?
Internet des objets et vie privée: la nécessaire réconciliation
L’Internet des Objets pose un défi de taille pour l’application de certains principes de base inhérents à la vie privée et à la législation prévue en la matière. Comment réconcilier une collecte et communication systématique, constante, de données à la maîtrise de la vie privée? Quel poids ont encore les concepts de “proportionnalité” des moyens de collecte, de droit de regard sur l’utilisation des données, etc.?
Des objets “anodins”?
Les objets connectés commencent tellement à être omniprésents qu’ils en deviennent anodins. Si c’est le cas pour certains, dans leurs effets et leurs implications, un minimum de prudence et de vigilance s’impose.
Internet des Objets et sécurité: tous responsables
Face aux multiples risques et enjeux que pose l’Internet des Objets, qui est responsable de quoi? Question cruciale d’autant plus que la chaîne des acteurs - et donc des responsabilités éventuelles - est longue, enchevêtrée, voire illisible (vous savez, le “cloud”...). Petite tentative de (début de) réponses, pour déterminer les responsabilités de l’utilisateur, du vendeur, du prestataire de services, de fournisseur de connexion, du développeur, etc. etc.
Objets connectés: l’âge d’or du hijacking?
Qu’il s’agisse d’un “bête” capteur, d’une voiture, d’un équipement médical, d’un climatiseur ou d’un quelconque autre “objet”, le fait de les connecter à l’Internet sans veiller à un minimum de sécurité risque d’être une invitation plus ou moins dangereuse lancée à tous les hackers de la terre.
Sécurité des objets connectés: un “must”
Avez-vous le pouvoir d’interdire à l’“objet” de collecter et de communiquer certaines données que vous jugez trop sensibles? Quelle est la responsabilité de l’utilisateur, du fabricant de l’objet, du concepteur de l’application ou du code en cas de “pépin” (intrusion, vol de données, ‘bug’...)? Anonymiser les données et simplifier le consentement initial de l’utilisateur sont-elles de bonnes pratiques, recommandables?
Hyper-connecté mais qui tire les ficelles?
Le côté “immanent” de la collecte de données, sur les comportements, les conditions de vie, l’état de santé, etc. peut donner l’impression d’être plus que jamais maître de sa vie. Mais, en fait, le contrôle de ces objets qui nous contrôlent risque de nous échapper.
Vie privée: “épouvantail” ou opportunité?
L’argument Vie privée sera-t-il un frein à l’innovation ou, au contraire, un argument différenciateur pour ceux qui, du côté de l’offre, pourront s’en servir de manière pertinente?
La maison connectée: histoire de bergerie et de loups modernes
Peu avant l’été, Fortinet, société spécialisée dans les solutions de sécurité réseau, publiait les résultats d’une enquête internationale visant à identifier la perception qu’ont les particuliers des risques liés potentiellement à l’arrivée d’objets et équipements connectés (à Internet) au sein du domicile. Coup d’oeil sur l’avis du citoyen lambda sur la collecte, l’utilisation et la protection de ses données domestiques et donc, par définition, privées.
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