Toutes les startups ne naissent pas sous la même étoile

Hors-cadre
Par · 24/06/2014

Il est des signes qui ne trompent pas et qui doivent en laisser beaucoup pantois et douloureusement jaloux.

Ô rien de bien nouveau d’ailleurs, depuis que des jeunes pousses aux idées originales et aux poches encore vides réussissent à décrocher le jackpot (libellé en milliards de dollars) en vendant simplement le concept et le carnet d’adresses (d’utilisateurs) à un ogre aux dents aussi acérées que l’appétit. Que ceux qui pensent, par exemple, à WhatsApp et à Facebook se félicitent. C’est notamment à ce duo que nous faisons en effet allusion.

Mais revenons-en à ce qui motive cet article. “Toutes les startups ne naissent pas sous la même étoile”, écrivons-nous en titre. Et, en effet, toutes les start-ups ne connaîtront pas le même sort – heureusement ou malheureusement – que WhatsApp.

Et toutes, de toute évidence, ne disposent pas des mêmes moyens que cette autre start-up dont on parle beaucoup ces derniers temps, y compris chez nous. A savoir Uber. Tiens! tiens! tombée pour sa part dans les filets de Google.

Pourquoi n’y a-t-il pas de comparaison possible entre elle et “le commun des start-ups mortelles”? Comment une jeune pousse peut-elle imaginer se payer les services d’une agence de communications aussi high level et aussi peu naturellement startup-minded que… Burson Marsteller? Pour les initiés du domaine, c’est plus que révélateur!

Et petite cerise sur le gâteau, la start-up vient de récompenser ses sept meilleurs chauffeurs de par le monde. Dont un heureux Bruxellois, soit dit en passant. Le prix? Un ticket pour la finale du Mundial à Rio.

Mais qu’attendent donc nos start-ups pour récompenser de la sorte leurs meilleurs ambassadeurs ou développeurs?