Le “smart” est de plus en plus mis à toutes les sauces. En ce compris, dans l’espace et le contexte public. Villes, communes, territoires ou région connecté(e)s sont devenus, semble-t-il souvent, le nouveau discours de green washing à la mode. Le tout-à-la-technologie commence à être tempéré par des analyses plus objectives de ce qui est possible, recommandé ou judicieux de mettre en oeuvre. C’est le retour du balancier vers une position plus équilibrée qui prend davantage en compte les multiples dimensions d’une “smart city”.
Mais l’un des ingrédients majeurs, pour l’élaboration, la pertinence et l’adoption des projets, reste encore peu utilisé. A savoir: la participation active, responsable, informée du citoyen “lambda”.
Les solutions et “outils” technologiques se multiplient – plates-formes de consultation et/ou de “co-création”, chatbots, réseaux sociaux, hackathons, living labs… Mais les choix demeurent difficiles pour les édiles et responsables locaux, la compréhension de leurs avantages et inconvénients parfois minimale.
Dans ce dossier, nous vous proposons quelques réalisations pratiques et une analyse des motivations de ceux qui les ont déployées. Avec, souvent, la prise de conscience que la technologie, en effet, n’est pas tout, n’est pas une fin en soi, et ne pourra contribuer à rendre nos lieux de vie citoyenne plus “intelligents” que si l’on n’oublie pas les particularismes des relations purement inter-individuelles.
Bonne lecture…
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