“Entre 2017 et 2020, la moitié des nouvelles recrues devront être des femmes.” Voilà la promesse faite par Efficy, éditeur bruxellois de CRM, dans le cadre d’une politique de ressources humaines qui vise à confier davantage de postes, de responsabilités et de représentativité à la gent féminine.
Pour ce faire, la société s’est dotée d’un ‘plan Women in IT”, via lequel elle dit vouloir “remédier à la sous-représentation des femmes dans notre secteur. Nous visons à tendre vers 40-50% de femmes en 2020 et à ce qu’un engagement sur deux soit une femme à partir du premier janvier 2020. Pour ce faire, nous mettons en place plusieurs choses: un partenariat avec Interface3 dans le cadre de leur formation “IT for Women only”, une prime au recrutement plus élevée en cas d’engagement d’une femme (elle sera le double de celle versée pour un homme) et des horaires plus flexibles.” permettant aux jeunes – hommes ou femmes… – de combiner vie parentale et professionnelle
Efficy entend bien, apparemment, éviter le “women-washing”. Elle vient par exemple de nommer une femme à la tête de son conseil d’administration. Il s’agit en l’occurrence de Dina De Haeck, PDG de Syneton et présidente de l’association Vlerick IMBA Alumni. Son parcours professionnel? Des débuts chez Pfizer en 2001, avant de rejoindre Arseus Dental & Medical dont elle fut la directrice opérationnelle et ensuite Eurofins Central Laboratory en tant que directrice générale.
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