Quelle stratégie les invests publiques wallonnes mènent-elles en faveur des “sociétés technologiques innovantes”, en particulier les start-ups et les spin-offs (issues de projets académiques)? Pourquoi constituent-elles des structures spécifiques pour investir dans ces “jeunes pousses”, en ce compris dans celles qui ont une orientation très “B2C” – lisez: dont la clientèle-cible est davantage le grand public que des professionnels?
Comment ces start-ups cadrent-elles avec leur mission de promotion de l’économie locale?
Et pourquoi certaines poussent-elles la démarche jusqu’à créer des structures d’accompagnement, pour guider la croissance de start-ups, à un stade précoce, avant même que ces mêmes invests jugent intéressant de les soutenir financièrement?
Autre constat: la règle veut qu’une invest public s’en tienne à son “territoire” (elles ont pour mission, sauf rares exceptions, d’opérer dans les limites d’une province déterminée). Pourquoi, lorsqu’il s’agit d’investir dans des start-ups, cette règle semble-t-elle ne plus être totalement respectée et quelles conséquences cette évolution peut-elle éventuellement avoir?
Pour mieux comprendre leur logique et ce qui les motive, nous avons rencontré les responsables de trois d’entre elles. A savoir, MeusInvest (Liège), NivelInvest (Brabant wallon) et InvestSud (Namur/Luxembourg).
Découvrez-nous sur Facebook
Suivez-nous sur Twitter
Retrouvez-nous sur LinkedIn
Régional-IT est affilié au portail d’infos Tribu Médias.