Acapela a ajouté une nouvelle voix de synthèse à son répertoire. Prénommée Manon, elle n’est pas une simple tonalité ou ‘personae’ supplémentaire. Elle marque une nouvelle étape, pour la société, dans la recherche d’une synthèse vocale la plus proche possible de l’expression humaine.
Pour ce faire, Acapela a enrichi la base de données de départ, celle qui enregistre les mots et textes prononcés par un homme (ou, ici, une femme) en chair et en os et qui sert de matière première pour la génération de synthèse vocale en temps réel. Le nombre d’enregistrements a été augmenté pour “produire” Manon, afin “de mieux véhiculer le sens et la signification des textes” et de donner une tonalité naturelle et authentique à la voix de synthèse.
Pour juger vous-même de la qualité du résultat, voici un lien vers un enregistrement de Manon disponible sur Soundcloud.
Cette voix de synthèse, estime Acapela, se prête plus particulièrement à la lecture de longs textes.
Le premier client à en faire usage sera l’Association française Valentin Haüy (AVH) qui propose des solutions facilitant la vie aux personnes souffrant de déficience visuelle. L’Association a recours, depuis plusieurs années déjà, à la technologie Acapela pour sa bibliothèque Eole de livres audio.
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